Laurent
Gounelle

Lecture

“L’homme qui voulait être heureux.” Le narrateur passe ses vacances dans un bungalow à Bali. À la fin de ses vacances, il va voir un sage balinais qui lui énonce qu’il est en bonne santé mais qu’il n’est pas heureux. Le sage lui demande entre autres de faire des recherches sur les placébos et lui enseigne quelques pistes pour trouver le bonheur.

Il lui dit qu’il ne faut pas éviter les obstacles dans la vie, mais les surmonter avec courage.

Il faut également faire ce qu’on aime, car nous sommes souvent influencé par plusieurs facteurs extérieurs (légende personnelle, concept qui n’est pas évoqué dans le livre) ; +* Enfin, dernière idée extrêmement importante ‘On est ce qu’on croit’ (Buddha). C’est-à-dire que si l’on a une image positive de soi, on sera apprécié des autres et vice-versa. Ce que l’on croit de soi est donc très important. Il ne faut jamais se dénigrer, s’amoindrir devant les autres. Ce sont les clés du bonheur. + +La fin du roman laisse penser que le narrateur repart de Bali heureux, ayant atteint son but — celui de devenir heureux.

laurent Gounelle

Laurent
Gounelle

Lecture

“L’homme qui voulait être heureux.” Le narrateur passe ses vacances dans un bungalow à Bali. À la fin de ses vacances, il va voir un sage balinais qui lui énonce qu’il est en bonne santé mais qu’il n’est pas heureux. Le sage lui demande entre autres de faire des recherches sur les placébos et lui enseigne quelques pistes pour trouver le bonheur.

Il lui dit qu’il ne faut pas éviter les obstacles dans la vie, mais les surmonter avec courage.

Il faut également faire ce qu’on aime, car nous sommes souvent influencé par plusieurs facteurs extérieurs (légende personnelle, concept qui n’est pas évoqué dans le livre) ; +* Enfin, dernière idée extrêmement importante ‘On est ce qu’on croit’ (Buddha). C’est-à-dire que si l’on a une image positive de soi, on sera apprécié des autres et vice-versa. Ce que l’on croit de soi est donc très important. Il ne faut jamais se dénigrer, s’amoindrir devant les autres. Ce sont les clés du bonheur. + +La fin du roman laisse penser que le narrateur repart de Bali heureux, ayant atteint son but — celui de devenir heureux.

laurent Gounelle